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Une bouffée d’air en plein confinement, voilà ce que nous propose Petit Navire avec Altmann + Pacreau dans son dernier film sobrement intitulé « La Mer ».

Tiens ! Comme nous sommes tous confinés, on ne s’ouvrirait pas une bonne boîte de thon en conserve ? L’insight consommateur était tout trouvé, quoique suffocant pour un pays qui brûle de sortir de sa boîte… Altmann + Pacreau a eu une idée bien plus rafraîchissante pour vanter les mérites de Petit Navire. L’agence travaille avec la marque française depuis 2019 et vient de sortir un film, « La Mer », qui agit comme une fenêtre ouverte sur le grand large ; les citadins coincés entre quatre murs apprécieront peut-être. Le clip s’ouvre sur un plan large. Nous sommes sur les plages du Portugal à 50 km de Lisbonne. Mais ce qui frappe, d’emblée, c’est cette réinterprétation de La Mer de Charles Trenet ; les classiques français – comme Hier Encore d’Aznavour pour Ouigo – restent de bon ton ; sans mauvais jeu de mot. Au micro, la jeune Nina Louise qu’il n’a pas été facile de trouver. Pour l’y aider, Altmann s’est adjoint les services de Capitaine Plouf. Le résultat procure au film une hauteur de vue dont Petit Navire avait besoin pour changer son image « de marque de fonds de placards ».

Le brief qui sous-tend cette créa se résume à la signature : « On a tous besoin de la mer. » « La marque ressentait la nécessité de se recentrer sur la mer afin de se distinguer de ses concurrents qui sont plutôt focalisés sur les recettes. Nous avons tous un lien avec la mer et c’est là-dessus que nous avons joué dans le film : des liens d’enfance, la sensation de force de l’eau quand on s’y baigne, la possibilité d’évasion lorsqu'on marche sur la plage et qu'on longe le littoral », décrit Thierry Lebec, concepteur rédacteur chez Altmann + Pacreau. « Ce que nous recherchions avec ce film était de recréer un rapport affectif avec Petit Navire, qui est une marque que les Français aiment beaucoup. Nous portons un message haut qui met en parallèle les bienfaits de la mer, qu’ils soient psychologiques ou physiques, avec ceux du poisson. C’est un film un peu pathos », ajoute Aurore Duhamel, directrice générale adjointe en charge du compte Petit Navire. « Nous avons voulu échapper à ces films qui sont trop axés sur l’engagement mais qui dans les faits, ne le sont pas forcément. Le but était d’être sincère », poursuit Thierry Lebec.

Un air de Bretagne

La particularité de ce film est d'avoir été tourné en deux fois en raison du premier confinement de mars 2020. Le choix du lieu s’est porté sur la côte atlantique et le Portugal. « Il fallait une variété de paysages, et que que cela puisse rappeler la Bretagne », indique la directrice artistique, Bénédicte Potel. L'équipe a recruté pour l'occasion une apnéiste professionnelle. Malgré tout, il a fallu « retourner plusieurs scènes car l’eau était glacée ». Le réalisateur, Joshua Neale, est connu pour avoir signé « Trouvez votre place » pour Leboncoin ou « The Story of Harry & Ahmed » pour l’Unicef. Pour garantir l’authenticité du propos, il a laissé les acteurs – qui avaient de véritables liens familiaux dans la vie – agir à leur guise.

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