télécoms

Le président de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes), Jean-Ludovic Silicani, a indiqué le 23 mars que l'arrivée de Free Mobile sur le marché de la téléphonie pourrait détruire jusqu'à 10 000 emplois chez ses concurrents, mais que cela pourrait se faire sans licenciements. Concernant les réductions d'emplois, «l'ordre de grandeur cité par les analystes pourrait être de 5 000 à 10 000 emplois supprimés en brut», car ce chiffre ne tient pas compte des emplois éventuellement créés par Free, a indiqué le président de l'autorité de régulation des télécoms. Si on tient compte du nombre d'emplois du secteur, de 130 000 à 170 000, et du fait que 3% des salariés en moyenne partent à la retraite chaque année, «sur deux ans, ça fait 6%, donc 10 000 emplois, ce qui pourrait éviter les licenciements», a-t-il poursuivi.

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