Publicis a signé durant quelques heures l'une des plus fortes hausses à la Bourse de Paris vendredi 8 janvier. En cause: un article de Campaign selon lequel de hauts dirigeants du groupe français auraient eu en décembre dernier des échanges avec une société de capital-investissement basée en Europe. Le magazine britannique a précisé qu'à ce stade, aucune négociation formelle entre les deux parties n’avait eu lieu. Un scénario que le groupe Publicis a tenu à démentir. «Il n'y a aucune discussion en cours», a ainsi déclaré à Reuters une porte-parole du groupe. S’il a limité la casse au cours des neuf premiers mois de l’exercice en cours avec un revenu net de 7,1 milliards d’euros, Publicis reste affecté par les conséquences économiques de la crise sanitaire.