Medias

C'était une compagne et une consoeur, mais la presse ne l'a pas épargnée. Valérie Trierweiler n'a pas voulu quitter son poste de journaliste à Paris Match, malgré une autre et prenante activité: celle de Première Dame, disposant d'un chef de cab et d'un véritable cabinet à l'Elysée. Conflit d'intérêts? «Quand elle est devenue la compagne du premier secrétaire du PS, elle a quitté le service politique, et quand François Hollande est devenu candidat, elle a cessé de participer à la conférence de rédaction et au bouclage», justifie Denis Olivennes, le patron de Lagardère Active, selon lequel une chronique littéraire découplée de l'actualité n'est pas source de conflit d'intérêts. Reste le fameux tweet de soutien à Olivier Falorni, rival de Ségolène Royal. Là, Valérie Trierweiler a bien fait l'événement pour les médias. Mais du tort à son compagnon.

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