Trois cents agences de communication et deux cents médias classés par leur chiffre d’affaires: le «classement des 500» fait la couverture de Stratégies cette semaine. Il s’agit de sa onzième édition, toujours réalisée avec la collaboration de la société Ellisphère, qui a collecté et certifié l’essentiel des données que vous y trouverez. Un travail minutieux complété par celui de la rédaction pour un certain nombre d’entreprises dont les comptes ne sont pas disponibles dans les bases de notre partenaire.
Outre le chiffre d’affaires 2014 de cinq cents sociétés et son évolution en un an, ce classement comporte, chaque fois que cela est possible, d’autres éléments d’information importants: le résultat net, le secteur d’activité et l’actionnaire de référence. Autant d’éléments le plus souvent disparates et qui, une fois assemblés, forment une photographie assez précise de ces deux secteurs d’activité. Nous sommes convaincus de sa double valeur informative et documentaire.
Il faut d'ailleurs se féliciter cette année encore de ce que, et nonobstant quelques critiques – mais quel classement de ce type peut prétendre à la perfection? – et des contraintes de communication financière du type loi Sarbanes-Oxley aux Etats-Unis, de moins en moins d’agences et de médias sont absents de notre photographie de famille annuelle.
C’est un signe encourageant pour la rédaction de Stratégies, où l’on considère de longue date les entreprises des secteurs de la communication et des médias que nous suivons au quotidien pour ce qu’elles sont: des entreprises comme les autres – pour la plupart des PME et des ETI – qu’un magazine professionnel se doit d’aborder aussi sous un angle économique dans le but réaffirmé d’éclairer ses lecteurs. Des lecteurs qui sont souvent eux-mêmes des dirigeants d'entreprise, voire des entrepreneurs.