Ensemble, ils ont déjà mis à profit leur capacité à comprendre les problématiques de communication pour répondre à des brief dans l’univers «for good». Pour AIDES, par exemple, ils ont produit trois campagnes. Ils ont aussi été amenés à plancher sur le sujet des violences faites aux femmes. «Nous sommes partis de vrais faits divers mais, plutôt que de montrer le drame, nous avons choisi de montrer l’issue positive qui était possible, celle où un témoin réagissait.», expliquent-ils. Ils apprécient particulièrement de travailler sur ce type de causes, utiles à la société. «On est vraiment dans la psychologie humaine. Comment on touche les gens ? Comment on les convainc d’agir autrement ? Bien sûr la façon de s’y prendre dépend de la nature des sujets, mais il est important de mettre en mouvement des mécanismes de réflexion», précisent-ils.
Parmi les campagnes qui les ont marqués, il y a celle de l’UNICEF baptisée Game Chaingers : «Grâce à la blockchain plus besoin de donner directement de l’argent, il suffit de laisser tourner son ordinateur et cela permet de générer des bitcoins reversés à Unicef». Ils se félicitent du fait que les marques cherchent à leur tour à faire passer un message sociétal. Et de citer Lacoste avec Save our species. Ou encore Nike avec Dream crazier. C’est avec impatience qu’ils attendent le Hack for Good, d’autant que le harcèlement scolaire est un sujet qui les touche beaucoup : «ce qui se passe dans l’enfance peut avoir des répercussions tout au long de la vie». Ils vont certes aller enquêter un peu sur ce qui s’est fait pour avoir des clés de lecture mais entendent bien garder une fraîcheur pour innover !