Microsoft et OpenAI répondent au New York Times qui les accuse de pillage de ses contenus. Ils assurent que la démarche judiciaire du journal est « sans fondement » et parlent de « surprise et de déception ». Le créateur de ChatGPT explique collaborer avec des agences et groupes de presse comme l’allemand Alex Springer, le rémunérant pour accéder à ses contenus (Bild, Die Welt, Politico, Business Insider…). L’entreprise explique aussi que les « rares » régurgitations de contenus relèvent d’un bug sur lequel elle travaille, et concerne de vieux articles émanant de sites web tiers ». Enfin, OpenAI assure au titre de presse qu’un processus de désinscription simple empêche ses outils d’accéder aux sites pour l’entraînement des modèles.