Pris dans un «environnement économique incertain», le New York Times cherche à faire des économies en ouvrant un guichet départs. Vingt journalistes au maximum pourront demander à partir, en bénéficiant de deux semaines de salaire (trois pour les syndiqués) pour chaque année d'ancienneté, avec un plafond équivalent à un an de salaire (deux pour les syndiqués). La direction se réserve le droit de refuser des départs pour éviter les sous-effectifs dans certains services et «aucun journaliste ne sera licencié en raison de ce programme», a précisé la responsable de la rédaction, Jill Abramson. Le New York Times a aussi prévu une réduction de ses dépenses commerciales.