presse

La plupart des quotidiens nationaux, empêchés de paraître le 21 avril par le mouvement de grève lancé par le Syndicat général du livre et de la communication (SGLCE) et le Comité inter-CGT (qui fédère notamment les rotativistes), étaient consultables gratuitement sur les sites des journaux. Le mouvement social dans les imprimeries et le réseau de distribution de la presse a pour origine des revendications salariales. Dans un communiqué, le Syndicat général du livre et de la communication écrite (SGLCE), majoritaire chez Presstalis (ex-NMPP), principale société chargée de la distribution de la presse, appelle à une «grève reconductible immédiate», à la suite d'une réunion de négociation salariale avec le syndicat (patronal) de la presse quotidienne nationale (SPQN).

A noter que la presse satirique du mercredi (Le Canard enchaîné, Siné Hebdo, etc.) n'était pas non plus disponible dans les kiosques.

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