Dans une lettre ouverte publiée en exclusivité sur le média spécialisé The Big Whale, plusieurs patron de start-up du Web3 (Ledger, Arianee, The Sandbox, ou encore Sorare) ont demandé expressément au gouvernement de « mettre dans les mains des Français ces nouvelles technologies et devenir le premier pays au monde à reconnaître le droit à la propriété des contenus numériques », insistant pour avoir des régulateurs « agiles et créatifs ». Selon eux, la révolution du Web3 contient en elle-même l’enjeux de la souveraineté numérique et permettrait à tout le monde de s’émanciper des grandes plateformes. Mais le pays et le continent européen pourrait vite se faire dépasser.