[Edito] Le constat est sans appel : les jobs de la communication perdent de leur attractivité. Stratégies publie en exclusivité une étude de Communication & Entreprise, réalisée avec le cabinet Occurrence.
6,7/10, c’est la note d’attractivité attribuée aux métiers de la communication par les 1 300 professionnels interrogés dans l’étude de Communication & Entreprise, réalisée par Occurrence, que nous publions en exclusivité. Le constat est sans ambages : les jobs de la com sont perçus comme « moyennement attractifs ». Quand on regarde dans le détail l’étude par profil, ce qui saute aux yeux, c’est que la com continue plutôt de faire rêver les jeunes qui lui accordent une note de 7,20, en hausse de 0,50 point. Les étudiants uniquement lui attribuent même un 7,33/10, en progression de 0,63 point. C’est ensuite que la situation se gâte : les 26-35 ans lui confèrent une note de 6,46/10, en baisse de 0,24 point. Petit coup de blues aussi pour les créatifs : 6,53/10 (-0,17).
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Alors qui est heureux de travailler dans la com ? D’abord les freelances (7,79/10), en augmentation de 1,09 point. Le top management affiche aussi son enthousiasme (6,92 /10, +0,22). Tout comme les communicants publics (6,90/10, +0,20). Et quand on interroge ces professionnels sur leurs moteurs dans leur job, c’est d’abord le sens donné au travail qui prime devant l’intérêt intellectuel. Au-delà, les personnes interrogées insistent sur l’importance des conditions d’exercice : l’équilibre vie personnelle/vie professionnelle, apprendre de nouvelles choses, la rémunération… Conclusion : il est urgent pour la com de repenser l’expérience salarié…
