Alors que le syndicat national des régies TV demande à assouplir la règlementation des secteurs interdits, pour permettre la publicité TV des promotions de la distribution, l’Alliance de la presse d’information générale, Lagardère Radio, NRJ Group, le SIRTI et l’UPE ont sollicité France Pub afin de mesurer les impacts de cette éventuelle ouverture. « La télévision bénéficierait d’un effet d’aspiration et mettrait en péril l’équilibre économique des autres médias », affirme un communiqué qui rapporte que la part de marché de la télé pour la distribution passerait de 39% en 2023 à 51% dès la première année. Ce qui représenterait une perte directe de 163 millions d’euros pour les autres médias : dont – 103 millions pour la radio, - 38 millions pour la presse et – 22 millions pour la publicité extérieure.