Depuis cinq ans, la Semaine Green place l’écologie au cœur des émissions phares du groupe. En 2024, l’accent a été mis sur les solutions qui préservent le bien-être et le pouvoir d’achat.
Objectif : promouvoir une écologie positive à travers des solutions concrètes
Pour cette cinquième édition de la Semaine Green, que M6 a proposée du 4 au 11 février derniers, l’accent a été mis sur la dimension pratique. « Dans nos différents magazines, nous avons mis en avant des solutions concrètes, du décryptage, de la pédagogie et de l’accompagnement sur une écologie du réel », explique Jonathan Curiel, directeur général adjoint des programmes, en charge des magazines et documentaires. Le contexte et la vague inflationniste sont aussi venus enrichir la réflexion : « Notre public est très sensible aux thématiques d’inflation et de pouvoir d’achat. Nous avons donc traité des sujets comme les économies d’énergie ou les façons de réduire la facture au quotidien. »
Sans pour autant verser dans l’injonction. « Nous voulons promouvoir un axe de solutions avec une écologie positive, analyse Jonathan Curiel. Nous sommes dans le décryptage et la fourniture de solutions pour les téléspectateurs et en termes de résultats. » Les téléspectateurs ont besoin de sens et de perspective. « C’est aussi cela qu’ils viennent chercher durant cette Semaine Green, qui montre également les évolutions des différents modes de vie », ajoute le dirigeant.
Moyens : une déclinaison à 360 degrés
L’écologie a été mise en relief à travers onze programmes sur toutes les chaînes du groupe M6, gratuites et payantes, mais aussi sur 6Play et la radio RTL. « Chaque jour, nous avons suivi des profils de personnes engagées, qui proposent des solutions concrètes, détaille Jonathan Curiel. Nous avons également mis en place des météos délocalisées dans quatre régions de France pour montrer l’impact du changement climatique sur nos paysages mais aussi sur des activités économiques, comme les stations de ski de moyenne montagne, sur le réseau routier, sur le système de gestion d’eau ou encore sur les agriculteurs. » Même la fiction courte Scènes de ménages a été mobilisée. « Cela fait entrer l’écologie avec un prisme différent auprès des téléspectateurs et donc ça leur parle presque plus que des magazines ou des journaux. C’était un dispositif assez riche et dense, qui a englobé quasiment toutes les émissions pour traiter de l’écologie sous toutes ses formes. »
Résultats : plus de 30 millions de Français touchés
Selon M6, entre 32 et 35 millions de Français ont été en contact avec au moins l’une des émissions programmées lors des dernières éditions de la Semaine Green. « Nous sommes le premier groupe à avoir mis en place une semaine de ce type », rappelle Jonathan Curiel. Si le premier objectif est d’évoquer l’écologie auprès du plus grand nombre, M6 veut éviter l’écueil moraliste. « Il s’agit d’avoir un impact sans culpabiliser les gens et sans être donneur de leçons, précise le directeur général adjoint des programmes. L’objectif est de les sensibiliser aux différentes thématiques économiques et surtout de leur apporter des solutions réalistes qu’ils puissent être en mesure d’appliquer sur des sujets du quotidien extrêmement importants pour eux : l’énergie, l’habitat, la consommation ou le pouvoir d’achat. »