Le premier journal féminin payant propose une nouvelle formule dès le 5 juin avec une déclinaison de son magazine incluant 68 pages dédiées à la télé : grilles de programme, interviews et recommandations.
Femme Actuelle, marque média leader de la presse féminine payante, élargit son offre en proposant sur une partie de son tirage, soit 75 000 exemplaires, une version enrichie avec un programme télé sur 68 pages, à compter du lundi 5 juin. Elle est commercialisée à 3,40 euros, soit 0,90 centime de plus que le magazine habituel. Cette version avec offre télé est d’autant plus aisée à produire pour le groupe Prisma Media qu’il est leader sur le secteur de la presse télé et s’est organisé avec la création d’une newsroom dédiée aux écrans et riche d’une centaine de journalistes, qui assurent la production print/web/vidéo pour les marques comme Télé Grandes Chaînes, Télé 2 Semaines, Télé Z et Télé Loisirs.
Ce nouveau magazine 2 en 1 propose donc en plus du magazine Femme Actuelle habituel une section Femme Actuelle Programmes Télé, qui inclut les grilles télé de tous les jours de la semaine. Pour chaque jour, 8 pages de programmes des chaînes gratuites et payantes sont proposées. S’y adjoignent des interviews de personnalités, dont Anne-Claire Coudray de TF1 dans le numéro à paraître le 5 juin, et des actus du petit écran ainsi que des programmes recommandés.
Pour Pascale Socquet, directrice exécutive du groupe Prisma Media, «le lancement de Femme Actuelle Programmes Télé répond à une attente de divertissement et renforce notre engagement serviciel auprès des femmes, socle de notre puissance de marque et de notre puissance bimédia. C’est aussi l’opportunité de déployer notre offre magazine. Avec l’hebdo déjà disponible en deux formats, Femme Actuelle Programmes Télé vient renforcer la gamme avec un tirage de lancement de 75 000 exemplaires.»
Le challenge pour la marque média est de ralentir l'érosion de sa diffusion. Femme Actuelle affiche une diffusion France payée de 406 757 exemplaires en 2022, soit un recul de 9,17% versus 2021. Le prix de vente du journal avait été baissé de 20 centimes en mai dernier, à 2,40 euros, pour relancer la diffusion mais les résultats ont été contrastés, l’augmentation des ventes ne compensant pas la baisse du chiffre d’affaires.