Valeurs Actuelles, qui avait attaqué Taboola en référé devant le tribunal de commerce de Paris après l'interruption de son contrat consécutif à la publication d'une fiction représentant Danièle Obono en esclave, avait gagné le 13 octobre. Les juges avaient alors ordonné à Taboola de maintenir son contrat avec la société éditrice, représentant un tiers de ses revenus publicitaires, et de lui payer 7000 euros de frais de procédure. Mais, le 7 avril, la cour d’appel de Paris a donné raison à Taboola et a condamné Valeurs actuelles à lui verser 5000 euros de frais de justice, selon Capital et la Lettre A. L'éditeur se réfugiait derrière le fait que la fiction avait été publiée sur le print et non pas sur le web, mais les juges ont estimé que la distinction n'était pas si nette puisqu'un droit de réponse de Danièle Obono était paru sur le web.