Un jury fédéral a donné raison à Google dans le procès qui l'opposait au groupe Oracle, propriétaire du langage de programmation Java, en déterminant qu'il ne s'était pas rendu coupable de violation de brevets. Oracle, qui a acquis en janvier 2010 Sun Microsystems, l'inventeur du langage Java, demandait à Google d'arrêter d'utiliser cette technologie et lui réclamait le paiement de dommages et intérêts, considérant que «la base du système d'exploitation Android consist(ait) en des applications Java». Selon Google, le groupe Sun Microsystems, du temps où il était indépendant, avait déclaré que Java serait en code ouvert, permis à tous les développeurs de l'utiliser et commencé à en publier le code-source en 2006-2007.

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