L'association du prix Albert Londres, le Syndicat national des journalistes (SNJ) et le SNJ-CGT ont affirmé leur «solidarité» avec les journalistes d'«Un œil sur la planète» (France 2), mis en cause par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) à la suite d'une émission sur l'avenir des territoires palestiniens. L'association du prix Albert Londres «dénonce des attaques au droit fondamental d'informer» et «tient à affirmer sa solidarité avec les confrères journalistes d'“Un œil sur la planète”, calomniés et menacés». Le SNJ fustige des «communiqués hystériques», un «flot de courriers électroniques souvent insultants» ou encore des «menaces physiques contre le présentateur de la soirée». de son côté, la Société civile des auteurs multimédia (Scam) indique que «la liberté d'expression n'est pas négociable».