Mark Zuckerberg de profil

Le club des 56 milliardaires philanthropes.
Je viens de m'engager auprès de la fondation The Giving Pledge, créée par Bill Gates et Warren Buffett, à donner la moitié de ma fortune (6,9 milliards de dollars) à des œuvres caritatives.

Les 1 800 employés de Facebook, en particulier les 500 ingénieurs avec lesquels j'adore faire des parties d'échecs-minute dans les bureaux.

Mes 2 millions de fans qui me soutiennent sur Facebook et multiplient les commentaires (jusqu'à 5 000 pour chacun de mes posts).

J'ai fondé Facebook dans ma chambre d'étudiant à Harvard en 2004.

- Passions:
J'adore me promener en tongs «Adissage Fit Foam» de marque Adidas et je ne quitte jamais mon jeans et mon T-shirt moulant gris foncé.

Je raffole des sweet-shirts à capuche.

Je passe seize heures par jour au bureau et je «kiffe» de partager des nuits entières avec mes cinq cents ingénieurs à inventer de nouvelles lignes de codes.

J'aime jouer de la guitare électrique sur mon canapé

- Qualités:
Tenace et pas cupide pour un sous, j'ai refusé, à 17 ans, un million de dollars proposé par Bill Gates pour l'invention d'un système lié au MP3.

Esprit brillant, mon quotient intellectuel est largement supérieur à la moyenne

- Défauts:
Autiste, je suis plus apte à communiquer avec un microprocesseur qu'avec un être humain.

Goujat, j'ai fait mes premières armes sur le Web grâce à un trombinoscope de filles du campus, baptisé «Facemash» (littéralement «tête à claques») destiné à comparer leur physique.

- Citations:
«Faire en sorte que les gens soient reliés entre eux et puissent partager ce qu'ils souhaitent.»

«Les internautes sont de plus en plus à l'aise pour partager plus d'informations, avec davantage de personnes. Je ne fais que les accompagner.»

- Situation amoureuse:
En couple avec Priscilla Chan, sino-américaine, ancienne camarade d'Harvard.

- Arts et loisirs:
Je déteste le film The Social Network de David Fincher, trop à charge.

Je prends des cours de chinois.

Je loue une bicoque sans prétention à Palo Alto.

Les jumeaux Winklevoss, rencontrés sur les bancs d'Harvard, qui m'ont accusé de leur avoir volé l'idée de Facebook,à qui j'ai dû verser 65 millions de dollars de dommages et intérêts.

Eduardo Saverin, avec qui j'ai cofondé le réseau, puis que j'ai écarté. J'ai dû lui verser des millions de dollars de dommages et intérêts.

- Sean Parker, le fondateur de Napster, m'a introduit dans la Silicon Valley, puis m'a aidé à donner une dimension mondiale à Facebook. Je suis aujourd'hui un peu en froid avec lui.