La direction de Libération a décidé la fermeture de ses sites de villes, animés par des correspondants régionaux, le 30 avril prochain. Huit agglomérations sont concernées: Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Orléans, Rennes, Strasbourg et Toulouse. «Compte tenu du faible trafic constaté sur les sites, nous avons essayé depuis deux ans de trouver des solutions», a assuré de son côté Nathalie Colin, cogérante du quotidien, interrogée par l'AFP. Les représentants du personnel «ont demandé un moratoire pour permettre la recherche de nouvelles alternatives pour le financement des “Libévilles”».