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L'Association nationale des industries alimentaires (Ania) dénonce l'acharnement des pouvoirs publics à l'égard des boissons rafraîchissantes. Après l'annonce par le Premier ministre François Fillon d'une première taxe de 120 millions d'euros sur les boissons avec sucres ajoutés pour financer le déficit de l'assurance-maladie, l'Assemblée nationale a déposé mercredi 12 octobre un amendement qui prévoit d'élargir cette taxe aux boissons contenant des édulcorants, type Coca-Cola Zero ou Pepsi Light. Il s'agit cette fois de financer, à hauteur de 130 millions, les allègements de charges du travail salarié permanent agricole. L'addition s'élève donc à 250 millions d'euros pour cette seule catégorie de produits, ce qui pourrait représenter, selon l'Ania, jusqu'à 20% de hausse des prix pour le consommateur.

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