Dans la lignée de la précédente campagne, qui mettait en scène de malheureux bonshommes verts voulant à tout prix se faire passer pour Crédito, la mascotte du Cetelem, le leader français du crédit pousse le bouchon du loufoque encore plus loin avec des films viraux et de l'affichage où l'on retrouve l'homme pelouse, mais aussi de nouveaux personnages restant incapables d'être crédibles.