Manon Foissy et Victorine Ronzon-Jaricot, Orès

Victorine, 24/01/1994, Verseau ascendant Sagittaire

Manon, 03/07/1996, Cancer

Votre rencontre ?

Dans l’open space créa chez Buzzman en 2019. On se voyait derrière nos écrans d’ordis respectifs et un jour, on a décidé de passer à l’étape supérieure : prendre un brief ensemble. 

Quel adjectif utiliseriez-vous pour définir votre team ? 

M.F. Complémentaire. Vous n’aviez besoin que d’un mot c’est ça ?

V.R.-J. Imaginative.

C’est quoi votre petit surnom ?

Celui qui revient le plus souvent est notre signature de mail M&V (prononcé à l’anglaise).

Qualité/défaut de votre team ?

Notre qualité : être deux femmes créatives, déterminées et persévérantes. Nous avons du mordant et ne lâchons jamais prise, surtout dans un secteur où les femmes sont malheureusement sous-représentées dans les postes créatifs à responsabilités. Notre ambition ? Toujours rester deux femmes, mais occuper des postes à responsabilités dans la publicité. Ce qui nous plaît chez Orès, c'est de travailler pour la première fois avec une directrice générale féminine. 

Votre client rêvé ? 

M.F. Skittles, leur univers est tellement excentrique qu’il y a de quoi vraiment s’amuser. 

V.R.-J. Celui qui est passionné par l’idée créative et qui sait reconnaître à quel point un insight est plus vendeur qu’un call to action.

Une agence rêvée ?

M.F. Un mélange entre 72andsunny, David Madrid et Ogilvy NY, parce que les pubs du Super Bowl c’est quand même un goal.

V.R.-J. Wieden+Kennedy. Pourquoi ? En un mot : Nike. 

Une pub coup de cœur ? 

V.R.-J. La pub de Cadbury avec les deux enfants qui font une danse de sourcils. Elle n’est pas toute jeune mais elle est tellement improbable et WTF qu’elle me donne le sourire à chaque fois. 

M.F. C’est là qu’on se ressemble… Cadbury, mais avec le gorille. Elle a tout. 

Votre morning routine au bureau ? 

M.F. J’envoie un SMS à Victorine pour lui dire que j’ai un peu de retard. Parce que dans les faits on aime arriver avant tout le monde, dans la réalité, elle arrive avant tout le monde. Puis elle se fait un café, et moi un matcha (je vous jure que c’est excellent) et on debrief de nos soirées respectives sur la terrasse de l’agence avant de se dérouler la to-do du jour. 

V.R.-J. Du coup je suis obligée de reprendre un café quand elle arrive, voilà d’où vient mon addiction…

Une anecdote insolite sur vous deux ?

On ne fait pas la même pointure de pied, dingue, non ? 

Une passion/hobby partagé ?

Je dirais la lecture, surtout les romans policiers. On a tendance à acheter les mêmes livres et se rendre compte après coup qu’on lit le même.

Le samedi soir, vous êtes plutôt team Netflix and chill ou sortie obligatoire ?

V.R.-J. Plutôt Netflix car je suis une grosse fan de séries et de films. Mais accompagnée, car rien de mieux que partager ses commentaires sur l’intrigue ou les acteurs.

M.F. Sortie à 1 000%. Découvrir un nouveau resto, un mélange de saveurs que je ne connaissais pas ou un plat qui me fait me dire que je suis naze en cuisine. Et toujours accompagné d'une bonne bouteille de vin évidemment. 

L’été, direction plutôt la Bretagne ou la Méditerranée ?

V.R.-J. Si je dis que la Normandie, c’est comme la Bretagne, je vais en vexer certains non ?

M.F. Sud-Ouest, sans aucun débat possible. Chaleur dans l’air comme la Méditerranée et fraîcheur de l’océan. Le meilleur des deux mondes.

Pour ou contre les pubs Comme J’aime ?

V.R.-J. Mon cerveau les efface automatiquement une fois que j’en ai vu une, pour combattre le trauma probablement. 

M.F. Je pense que la question que j’aurais posée c’est plutôt : est-ce que Comme J’aime est vraiment une pub ?