Apple, Samsung, Microsoft... ces leaders du marché numérique sont les plus mauvais élèves, en termes de possibilités de réparation et de mise à jour de leurs produits, selon un rapport rendu par l'association Greenpeace East Asia. En association avec iFixit, Greenpeace a passé à la loupe les 40 téléphones, tablettes et ordinateurs portables les mieux vendus entre 2015 et 2017. Dès la conception, ils seraient assemblés de manière à ce que les utilisateurs ne puissent pas les réparer, réduisant ainsi leur durée de vie et augmentant la quantité de déchets électroniques. Heureusement, il existe de bons élèves comme le Fairphone 2 qui obtient la note de 10/10 et des marques d'ordinateurs comme HP et Dell qui propose des pièces détachées en libre service.