«Ce qui est frappant dans ce sondage, et rare dans une enquête d'opinion, c'est une proportion d'opposants aussi intense. Lorsqu'on atteint un tel degré, il est en général très difficile de faire bouger les lignes, même si on tente d'argumenter, comme l'a fait Nicolas Sarkozy dimanche 29 janvier. D'autant plus que, lorsqu'on regarde les résultats, le Président n'a fait que fédérer la gauche. Nous publions un nouveau sondage jeudi 2 février. Seuls les électeurs de droite pourront infléchir – mais à la marge – l'opinion générale. L'opposition à cette taxe reste largement majoritaire.»