«Le retour de DSK a été une opération de communication visant à faire croire aux Français qu'il rentrait de vacances comme s'il ne s'était rien passé. Mais cette communication “tout sourire” est une erreur et une faute. C'est la marque d'une désinvolture à l'égard de la “dimension spirituelle” du politique. Ses communicants n'ont rien compris à l'imaginaire collectif français, qui veut que la politique soit au-dessus des hommes. Le sujet, ce n'est plus le Sofitel. Bon nombre de Français ont été soulagés pour DSK de l'abandon des charges, mais ils attendaient dès son retour des explications – un acte de contrition – sur les comportements de celui qui avait leur confiance pour devenir président et, à l'évidence, a placé son confort personnel avant ses responsabilités.»