Pourquoi, Léa? Quelques semaines après avoir été la risée d'internet – la petite-fille de Jérôme Seydoux, président de Pathé, ayant déclaré avoir fait «l'école de la vie» – Léa Seydoux a fait l'objet d'un étrange reportage d'Envoyé spécial intitulé «L'enfant gâtée du cinéma français». L'actrice y fait visiter sa maison nichée dans un écrin de verdure en plein Paris, y évoque son enfance mélancolique, livrée à elle-même, le cuir chevelu infesté de poux… Une tentative de réhabilitation qui culmine lors d'une parenthèse néocolonialiste à souhait à Gorée (Sénégal), où la comédienne rejoint sa mère, Valérie Schlumberger, dame patronesse locale. Du nanan pour les twittos qui se sont encore une fois déchaînés. Les RP de la jolie Léa auraient mieux fait de suivre les conseils de Catherine Deneuve, qui déclarait en 2015: «Une star est quelqu'un qui doit se montrer peu et rester dans la réserve. Sinon, elle se banalise.» Voire se ridiculise.