Une enquête informelle de L'autorité britannique de la concurrence, la Competition and Markets Authority (CMA), pendant plus d'un an l'a amenée à craindre que les deux groupes américains soient trop complaisants dans la chasse aux commentaires de produits «faux ou trompeurs».
«Les critiques de produits fausses ou trompeuses peuvent avoir un impact sur les notes d'une entreprise ou la façon dont elles apparaissent» dans les moteurs de recherche auprès des consommateurs, fait valoir l'autorité britannique.
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«Il est important que ces plateformes technologiques prennent leurs responsabilités et nous sommes prêts à prendre des mesures quand nous pensons qu'ils n'en font pas assez», avertit la CMA.
«Pour aider à gagner la confiance de consommateurs, nous dédions des ressources importantes pour empêcher des critiques fausses ou rémunérées d'apparaître dans notre magasin» en ligne, a assuré Amazon dans un communiqué. Le géant des achats en ligne dit collaborer avec la CMA dans ses recherches et dit observer qu'aucune allégation concrète d'infraction à la loi n'a été faite à l'encontre de ses activités.
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Le gendarme britannique de la concurrence enquête déjà sur Google, craignant que des changements prévus dans son navigateur Chrome renforce sa domination dans la publicité en ligne. Contacté par l'AFP, Google n'avait pas répondu dans l'immédiat.
Les géants américains de l'internet comme Facebook, Amazon ou Google font parallèlement l'objet d'une série d'enquêtes pour abus de position dominante, en particulier aux États-Unis et en Europe.
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