Google s'est défendu, le 17 février, d'avoir voulu espionner les internautes utilisant le navigateur Internet d'Apple, comme l'accuse le Wall Street Journal, le géant du Web expliquant que les «cookies» publicitaires en cause reposaient sur une fonctionnalité du programme Safari. Le quotidien financier a affirmé que le moteur de recherche et d'autres entreprises de publicité utilisaient des codes de programmation spéciaux, cachés dans les commandes de Safari, pour surveiller et enregistrer les habitudes de navigation des utilisateurs de l'application. «Nous avons utilisé un dispositif technique connu de Safari pour fournir des fonctionnalités que des utilisateurs de Google connectés à leur compte avaient activées», a répliqué Google. Tous les internautes qui créent une adresse électronique Gmail, un compte sur le réseau social Google+ ou un blog sur Blogspot ouvrent dans le même temps un compte Google.