DROIT. Le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris n'a pas fait droit à la demande de l'Association pour la défense de nos prénoms et aux parents de deux enfants prénommés Zoé et dont le nom de famille est Renault, qui demandaient l'interdiction de l'usage de la marque Zoé par Renault. Le constructeur prévoit de commercialiser sous cette marque l'un de ses quatre véhicules électriques, en 2011-2012. Pour le juge, il n'y a ni dommage imminent ni atteinte à la vie privée ou à la dignité. L'avocat des plaignants a indiqué qu'il ferait appel de cette décision.