Plusieurs associations de protection de l’enfance ont saisi l’Arcom afin de demander une suspension du réseau social à l’oiseau bleu, car ce dernier diffuse des images ou vidéos pornographique, directement accessibles aux mineurs. Les comptes utilisant parfois de hashtags en tendances pour augmenter leur visibilité. Selon des informations de Nextimpact, après plusieurs lettres envoyées, sans aucune réponse de Twitter, les associations ont décidé de saisir Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique. Celle-ci peut demander à mettre en place un contrôle de l’âge dès sa page d’accueil. Le sort de différents sites pornographiques sera analysé à ce sujet le 6 septembre prochain par le tribunal judiciaire de Paris.