Un rapport de la Cnil espagnole publié il y a six mois, et déterré par le quotidien El Mundo, et repéré par le Figaro, affirme que l’autorité de protection des données outre-pyrénéenne a fermé la porte à un partenariat entre le ministre de l’éducation et le géant de la tech pour l’utilisation de sa plateforme Workplace (Drive, Doc, Gmail, Meet, Youtube…). En cause : une collecte trop importante des données personnelles, notamment des mineurs, qui pourraient conduire à des déductions concernant la santé ou les convictions religieuses des utilisateurs. Notons que les autres services comme ceux de Microsoft n’ont pas été étudiés par l’autorité.

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