C’est Margaux qui a atterri la première chez Hungry and Foolish, en 2020, pendant le premier confinement, suivie de près par Adam, formé à la direction artistique.
Mini bio :
Exit Ève, Adam a trouvé en Margaux sa moitié créative. Pourtant, c’est bien Margaux qui a atterri la première chez Hungry and Foolish, en 2020, pendant le premier confinement, où elle a commencé en tant que social media manager. Suivie de près par Adam, formé à la direction artistique. « Nous sommes totalement différents dans l’appréhension des briefs. Adam est rigoureux, passionné et curieux, tandis que j’axe plus la réponse dans l’opérationnel, dans le concret, avec en tête de répondre aux demandes du client. Sa passion versus ma réalité fonctionnent bien. » Autre différence avec les autres teams, l’approche réseaux sociaux qu’apporte Margaux en tant que social creative.
Portrait chinois :
Si vous étiez une tendance sur les réseaux sociaux, laquelle seriez-vous ?
Sur TikTok, il y a eu la tendance des « okokok » versus « lalala » qui raconte la dualité entre ceux qui sont très terre à terre et les rêveurs. Adam serait le premier et Margaux le second, deux mondes qui se côtoient dans l’open space.
Votre autre métier rêvé ?
AC-T : Je suis un passionné de cuisine, alors pourquoi pas ouvrir un resto !
MC : Dans mon téléphone, je garde une note avec la liste de tous les métiers que j’aimerais faire un jour, ça peut aller de chanteuse d’opéra à tout autre chose : cet été, j’ai eu l’envie soudaine de monter une société de scoubidous.
Quelle pub auriez-vous aimé réaliser ?
En pub internationale : « Draw ketchup » de Heinz. En pub nationale : « Dickpic diagnostic » réalisée par TBWA Paris pour une association qui lutte contre le cancer des testicules. Sur des applications de rencontres, l’agence a créé de faux profils féminins et évidemment elle a reçu des dickpics (photos de pénis). Les médecins prenaient alors le relais pour faire de la prévention. L’idée est hyper couillue, sans mauvais jeu de mots.
Si vous étiez un autre duo, qui seriez-vous ?
AC-T : J’ai regardé la série Good Omens, où les deux entités, l’ange et le démon, ont des missions. Leurs points de vue sont complètement opposés, mais sur certains sujets, ils sont raccord. Un peu comme Margaux et moi.
Quel pays seriez-vous ?
Ce serait un mélange entre la France et l’Italie, car nous sommes tous les deux d’origine italienne, ce qui donnerait la Fritalie.
Quelle marque ?
AC-T : Je possède une affection particulière pour la marque Lego. Outre les campagnes et la signature « Rebuild the world » qui sont géniales, elle nous pousse à redevenir des enfants.
Une musique pour vous décrire ?
Ma philosophie d’Amel Bent. Ça retranscrit bien notre ambition sans trop nous prendre au sérieux.
Pitch me :
Brooklyn – « This is Brooklyn » : Nous avons fait le choix de mettre en avant une marque multiculturelle, inclusive, mais aussi urbaine et accessible. En fait, on avait vraiment l’âme de la ville de Brooklyn entre nos mains, concentrée dans une bière. C’est cette évidence qu’on a voulu traduire, comme un pléonasme, en imaginant le nouveau territoire 360° de la marque en France.
Mercure – « 48h Découvertes avec Benjamin Verrecchia » : Initialement, l’influenceur Benjamin Verrecchia était invité pour un séjour d’influence, avec de la production de contenu traditionnelle. Ce séjour était prévu depuis des mois mais à quelques jours du départ, la météo annonçait beaucoup de pluie. Très vite, il a fallu s’adapter : on a demandé de l’aide à ses abonnés locaux pour nous souffler des idées d’activités à faire en cas de mauvais temps. Ce qui devait être un bordel pas possible est devenu une campagne authentique, où les pôles influence et création ont fusionné.
Fils de pomme – « Pardon my French Cider ! » : Pour travailler la notoriété de cette marque de cidre dans cette campagne print, nous avons joué sur le nom de la marque, en ne gardant que le « Fils de ». Cette idée est venue de tous nos points avec le client qui s’appelaient « FDP ». Au bout d’un moment, c’est devenu une évidence.