Les campagnes marquantes

Les piles alcalines Mazda (BDDP, début des années 90)

« Nous sommes en 89, je viens de voir Brazil au Studio Galande, je suis bouleversé par l’univers du film de Terry Gilliam, je tombe sur cette publicité faite par BDDP un an après... Je me dis, OK, c’est ce métier que je veux faire. L’idée est géniale et ce métier a l’air d’offrir une liberté d’expression créative incroyable ! » 



Le Surfer de Guinness (AMV BBDO, Jonathan Glazer, 1999)

« J’aime tout. Le montage, le rythme, la musique, la VO, les effets spéciaux (incroyables pour l’époque), l’univers… j’ai des frissons quand je repense à la claque que j’ai prise en le voyant sur grand écran à Cannes pour la première fois ! Absolument culte ! »

Les pires campagnes

«Tout un pan de la publicité est affreux »

« Citer une campagne en particulier n’a pas vraiment d’intérêt, c’est tout un pan de la publicité qui est affreux... Il y en a des tonnes chaque jour, pires les unes que les autres, allumez votre télé ou votre ordi, 90% de la production publicitaire mondiale est indigente. Dans la plupart des cas, c’est dû essentiellement à l’annonceur ou à l’agence qui ne s’intéresse pas vraiment aux consommateurs, qui ne s’intéresse pas vraiment à l’exigence que demande ce métier quand on crée un rendez vous de qualité entre des gens et une marque… ou pire, qui s’en moque. » 

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