C’est la part des Français qui disent souffrir de fatigue informationnelle, selon une étude de L’ObSoCo, Arte et la Fondation Jean-Jaurès, rendue publique le 1er septembre. Leur portrait-robot ? Si ces « fatigués » de l’information ne font pas un usage des médias fondamentalement différent des autres (par exemple, ils n’en consultent pas forcément plus), ils partagent ou commentent davantage l’information, ont davantage tendance à croiser leurs sources ou encore sont plus nombreux à souffrir du « FOMO » (fear of missing out, peur de manquer une information).