Le média spécialisé, dirigé par Éric Briones, fête ses dix ans, et lance les Trophées luxe & résilience, le mardi 15 octobre.
Alors qu’il fête ses dix ans le Journal du luxe, franchit aussi aujourd’hui une nouvelle étape en lançant ses premiers Trophées sur le thème de la résilience, et en passant sa newsletter quotidienne. Il réunira lors d’un dîner dans un grand hôtel, mardi 15 octobre, une centaine de dirigeants du luxe, à l’occasion de ses premiers Trophées luxe & résilience. Le Journal du luxe détenu par Franck Papazian (AdmediaGroup, propriétaire de Stratégies), comprend une rédaction de 8 personnes, un site web, une newsletter, et se distingue par un rayonnement très fort sur Linkedin. « Nous avons 252 000 abonnés sur LinkedIn mais ce qui compte pour moi c’est surtout le taux d’engagement qui est très important », détaille Éric Briones, directeur général du Journal du Luxe. Une façon de s’inscrire au cœur de la communauté luxe : « Nous avons un programme d’événements digitaux (un à deux par mois), baptisés Live intelligence, avec les personnes qui comptent dans le secteur du luxe, ça cogite très fort sur le plateau et ça réagit beaucoup dans le chat ».
« Ni casseur, ni courtisan »
Ce média dont la nouvelle signature est « le rendez-vous des décideurs du luxe », revendique la place de leader francophone sur l’info business du luxe. Et le JDL défend une ligne éditoriale différenciante : « Les médias sur le luxe se divisent en deux catégories, d’un côté les casseurs, qui critiquent systématiquement, de l’autre, les courtisans, qui n’ont aucune vision critique, note le DG du Journal du luxe. Avec le JDL je crois à une troisième voie qui consiste à éclairer au nom de la résilience du luxe ».
Lui-même publie un nouvel ouvrage le 24 octobre, baptisé Génération Z & Luxe, chez Dunod, avec une préface de Jean-Christophe Babin, le CEO de Bulgari. C’est un ouvrage collectif sur lequel ont planché un grand nombre d’instituts d’études (Ifop, Ipsos, Kantar, Bain…) et un livre qui rend hommage à Stéphane Truchi (Ifop) décédé en juin. « Il a rédigé deux chapitres du livre », conclut Éric Briones.