OpenAI, le développeur de ChatGPT, a refusé à ce stade d'ouvrir des négociations groupées avec deux organismes de la presse française pour utiliser de manière payante les contenus des 800 titres qu'ils représentent, a-t-on appris lundi auprès d'une des parties, confirmant des informations de presse. La start-up californienne estime « opérer et continuer d'opérer dans les limites légales applicables », a fait savoir un de ses avocats dans un courrier cité par Les Echos, envoyé en juin à l'Apig (Alliance de la presse d'information générale) et au SEPM (Syndicat des éditeurs de la presse magazine). OpenAI a plutôt invité les médias affiliés à ces organismes à s'inscrire chacun comme refusant de voir leurs contenus utilisés gratuitement (mécanisme d'« opt-out »), a détaillé le média La Lettre.