ÉTUDE

C'est la part de 18-24 ans, soit un jeune sur trois, qui a aujourd’hui l’impression que « la science apporte à l’homme plus de bien que de mal », selon un sondage Ifop pour la fondation Jean-Jaurès et la fondation Reboot.  Dans cette étude, il est aussi indiqué qu’ils étaient une majorité à le penser il y a cinquante ans (55% en 1972). À l’inverse, la proportion de jeunes estimant que l'apport de la science à l’humanité est plus nocif que positif a triplé, passant de 6% en 1972 à 17% en 2022.

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