Alain de Pouzilhac, patron de l'Audiovisuel extérieur de la France (AEF), a jugé mercredi 18 mai que «c'est à l'Etat actionnaire de trancher» dans le conflit de gouvernance qui l'oppose à Christine Ockrent, sa directrice générale déléguée, au sein de l'AEF (France 24, RFI). «C'est à l'Etat actionnaire de trancher et de décider», a insisté le président-directeur général de l'AEF, qui était entendu par la mission d'information présidée par la députée Michèle Tabarot (UMP, Alpes-Maritimes), présidente de la commission des Affaires culturelles, pour faire un point d'étape sur la réforme de l'AEF et sur les «dysfonctionnements» en son sein.