Surfant sur le succès de la plate-forme Wikileaks, le Wall Street Journal se lance dans le confidentiel. Le quotidien économique a ouvert le service Safe House («Refuge»), afin de dévoiler les fraudes et les abus commis dans le secteur public ou privé. «Si vous avez des contrats, des correspondances, des courriels, des relevés financiers ou des bases de données d'entreprises, d'administrations ou d'ONG, vous pouvez nous les adresser en utilisant le service Safe House», explique le journal. En France, le site Mediapart avait déjà lancé en mars Frenchleaks, qui fonctionne sur le même principe.