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La cour d'appel de Paris a considéré que la relation de travail entre un chauffeur VTC et la plateforme Uber pouvait «s'analyser comme un contrat de travail» et non comme une relation commerciale, selon l’AFP qui cite une source judiciaire. L'affaire opposait un chauffeur qui a exercé entre juillet 2015 et mars 2017. Les raisons évoquées sont le fait qu’ils ne pouvait «décider librement de l'organisation de son activité, de rechercher une clientèle ou de choisir ses fournisseurs», qu’il n’avait aucune main sur les tarifs ou les conditions de l’activité, qu'il ne pouvait se constituer sa propre clientèle, et se voyait même imposer les trajets et des sujets de conversation à ne pas avoir.

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