L'UFC-Que choisir a perdu son procès contre l'opérateur télécoms SFR, dont elle dénonçait les «pratiques commerciales déloyales» dans les publicités, en 2009 et 2010, sur son forfait Internet mobile. Pour l'UFC-Que choisir, les conditions restreignant l'usage illimité devraient figurer dans les mêmes caractères et à un endroit aussi lisible que la mention «illimité» sur la publicité. Sans se prononcer sur le fond, les juges ont estimé que les publicités incriminées n'étant plus diffusées au moment de l'assignation, «l'action de l'UFC-Que choisir, qui a le caractère d'une action préventive en cessation d'agissements illicites, n'apparaissait pas fondée».