Sous la forme «anti-âge» ou «anti-rides», cette allégation est fréquemment utilisée dans le domaine de la cosmétique, mais on la rencontre également dans d'autres domaines sous d'autres formes telles que «antivirus», «anti-oxydant», «antirouille», etc.
D'une manière générale, elle peut être utilisée à condition que l'effet revendiqué soit réel et que l'annonceur soit en mesure de rapporter la preuve de cette efficacité.
En matière cosmétique: à l'heure actuelle, elle peut continuer à l'être sous certaines réserves et il est en tout état de cause à recommander de respecter la recommandation «Produits cosmétiques» de décembre 2009 de l'ARPP .
Pour le futur, en revanche, il semble probable que, tout du moins sous cette forme et dans le domaine alimentaire, elle devra être abandonnée compte tenu de l'entrée en vigueur, fin 2014, du règlement 1169/2011 du 25 octobre 2011
Le "Dictionnaire juridique des allégations publicitaires" de Michel Toporkoff, avocat spécialiste du droit du marketing est publié en partenariat avec Stratégies à raison de deux nouvelles entrées chaque semaine.
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