Le gouvernement brésilien veut imposer les sous-vêtements, ou plus précisément leurs étiquettes et leurs emballages, comme supports de promotion du dépistage des cancers du sein, de l'utérus et de la prostate, dont on peut guérir s'ils sont dépistés à temps. Les sous-vêtements féminins pourraient même être utilisés pour inciter au port du préservatif. La présidente du pays, Dilma Rousseff, doit encore donner son accord pour ce projet, qui prévoit des sanctions pour les fabricants récalcitrants.