Un collectif d’associations de protection de l’enfance, en collaboration avec l’Observatoire de l’éducation numérique (OPEN), a saisi l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, ex-CSA) et demande la mise en demeure du réseau social Twitter, accusé de laisser les mineurs accéder à du contenu pornographique, pédophile et zoophile. Pour sa défense, Twitter renvoie à ses conditions d’utilisation qui précisent que « ses services ne sont pas destinés aux enfants » ainsi qu’une fonctionnalité pour les utilisateurs de cocher une case lorsqu’ils publient un contenu sensible, ou de lui signaler les contenus sensibles qu’ils rencontrent en vue d’afficher un avertissement. En savoir plus