Dans un thread sur Twitter, le cofondateur et porte-parole du collectif « Nos services publics », Arnaud Bontemps, revient sur la conférence de presse tenue par deux ministres pour tenter d'éteindre la polémique autour du cabinet McKinsey.
Arnaud Bontemps, cofondateur et porte-parole du collectif « Nos services publics », décrypte dans une série de tweets les enjeux derrière la conférence de presse d’Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, et d'Olivier Dussopt, ministre des Comptes publics, qui s'est tenue le 30 mars en réponse à la polémique autour du cabinet de conseil américain McKinsey, et plus globalement du recours exponentiel par l'État à des cabinets de conseil. Des dépenses publiques dénoncées par un rapport du Sénat, à quelques semaines du premier tour de l'élection. Dans son fil de tweets, Arnaud Bontemps rappelle, entre autres, l'existence d'un « plafond d'emplois » qui expliquerait en partie le recours à ces ressources extérieures.
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