France Télévisions, qui dépense 106 millions d’euros par an dans le documentaire, et les organisations de producteurs et d’auteurs (Scam, SPI, Uspa…) ont signé une charte des bonnes pratiques du documentaire portant sur la réception des projets et la réalisation. Au cours d’un débat sur l’audiovisuel public, Christophe Tardieu, secrétaire général de France télévisions a reconnu que son groupe travaillait à une clause de diversité en faveur des femmes réalisatrices de doc et sur un renforcement des documentaires sur l'environnement. La députée LREM Beatrice Piron s’est déclaré en faveur d’un élargissement de « l'assiette de perception » de la redevance. Enfin, Cécile Rap-Veber, directrice générale de la Sacem a mis en garde : « On ne peut pas financer le délinéarisé par le linéaire. Il faut valoriser le numérique ».