Le SNJ a dénoncé dans un communiqué la sortie de l'ancien ministre de l'Intérieur Jean-Pierre Chevènement le 18 octobre sur Europe 1, qui liait la ligne éditoriale de deux médias corses et le climat de violence de l'île, quelques jours après l'assassinat de l'avocat Antoine Scollaro. «La jeunesse est abandonnée à un endoctrinement, qui passe par tous les canaux de communication, France 3, Radio France Frequenza Mora, rectorat, université: abandonnée à une propagande», avait accusé Jean-Pierre Chevènement. Le SNJ a condamné «ces propos mal intentionnés, scandaleux et diffamatoires» et «va étudier tous les moyens de recours pour défendre la vérité et l'honneur professionnel des journalistes».