«Je trouve rétrograde de traiter la fiscalité des entreprises comme une variable d'ajustement», a déclaré aux Echos le président du directoire de Vivendi, Jean-Bernard Lévy. Selon le quotidien économique, les nouvelles règles fiscales pourraient avoir un impact de 260 à 400 millions d'euros sur le groupe, selon les analystes. Le patron de Vivendi assure que cela ne modifiera pas les investissements industriels du groupe, mais ceux «de développement et les acquisitions seront nécessairement touchés». Dans la même interview, Jean-Bernard Lévy s'oppose aux mesures techniques préconisées par le rapport Boyon sur la TNT.