Alors qu'Amazon a fait savoir qu'il avait décidé de ne plus héberger Wikileaks, OVH, l'hébergeur français (à Roubaix) du site Web controversé, va saisir la justice en référé sur la «légalité ou pas» de ce dernier «sur le territoire français», en réaction à la demande du gouvernement de mettre fin à cet hébergement. «Ce n'est pas au monde politique ni à OVH de demander ou de décider la fermeture ou pas d'un site, mais à la justice», a expliqué le directeur général d'OVH.