Spécialisée dans la téléphonie cloud pour les entreprises, Aircall fait peau neuve avec une nouvelle identité sonore signée Sixième Son.
Aircall dit au revoir à sa sonnerie « faite maison » pour laisser place à une nouvelle identité sonore aux côtés de Sixième Son. Avec près de 800 employés, la licorne française (valorisée plus d’un milliard d’euros) est devenue centaure, avec plus de 130 millions de dollars de revenus annuels. Elle est spécialisée dans les services de téléphonie d’entreprise basée sur le cloud et localisée à Paris, New York, Madrid, Sydney, Londres et Berlin. Depuis sa création, il y a huit ans, l’identité sonore composée par le cofondateur Olivier Pailhes – un mélomane dans l’âme – est restée la même. « Il y a un an, on s’est posé la question de revoir notre signature mélodique. Au départ, je n’étais pas très emballé, car étant le compositeur de l’ancienne signature sonore, elle me tenait à cœur. Mais Sixième Son a su m’entraîner pour que l’on collabore sur le projet », confie-t-il.
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Vouloir se différencier, être une « marque fraîche, innovante et dynamique », c’est le but d’Aircall qui a pour objectif d’entrer en Bourse d’ici quelques années. En compagnie du leader mondial sonore, les deux parties n’ont pas eu de difficultés pour travailler côte à côte. « On a cette posture d’être en co-création avec nos clients, qu’ils soient musiciens ou non. Ce qui a été exceptionnel cette fois-ci, c’est qu’il y a la position d’Aircall et leurs enjeux importants, et de l’autre la création et le savoir-faire d’Olivier. Ce n’est pas tous les jours qu’on a le patron de l’un de nos clients qui interprète au piano la musique », souligne Laurent Cochini, managing director chez Sixième Son. Éviter le « boring », en misant sur des sonorités « funky », tel est le résultat qu’attendait le centaure français.